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L’inquiétante absence + Dans mes horreurs les plus pires

Heure

19h30

Date

Oct 25 2022
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AMIR BELKAIM, FÉLIX BRASSARD (2019) – DOCUMENTAIRE – 102 MIN – VO FRANÇAIS – QUÉBEC

Synopsis :
Le documentaire L’inquiétante absence s’interroge sur l’état actuel du cinéma de genre au Québec, et cherche à répondre aux deux questions suivantes : considérant la grande richesse du cinéma d’ici, comment se fait-il que des genres comme l’horreur, la science-fiction ou le fantastique aient été si peu traités à l’écran, et comment rendre justice aux créateurs et aux passionnés de cinéma de genre au Québec? Pour tenter d’offrir des réponses à ces questions, les réalisateurs ont effectué plusieurs entrevues avec des figures marquantes du cinéma de genre québécois issues de plusieurs horizons, en plus d’aller à la rencontre des fans dans des festivals et des conventions.

PATRICK GAUDET, PATRICK BERNIER-MARTIN (2021) – COMÉDIE D’HORREUR – 63 MIN – VF – QUÉBEC

Une multitude d’évènements surnaturels survient le jour où Melanie Daniels libère deux mystérieuses perruches de la George H.W. Bush State Prison. Laissant les autorités médusées, une épidémie de vers d’oreilles franco-pop se propage comme une malédiction meurtrière de Bodega Bay jusqu’à Crystal Lake, en passant par un cinéma de Woodsboro où le Père Dyer et le Lieutenant Kindermann se sont donné rendez-vous pour se changer les idées. Ils sont bien loin de se douter que l’horrible comédie musicale à l’affiche est une histoire vraie et qu’ils en font partie…
Réalisé en « mashup »à 100%, « Dans mes horreurs les plus pires » n’est rien de moins que le premier « cinémashup » de l’Histoire! Défiant jusqu’aux contraintes de l’espace et du temps, sa trame narrative emprunte celles de neuf univers du cinéma d’horreur et les juxtapose à neuf chansons populaires afin d’en révéler le sens profond. En résulte une terrifiante comédie musicale en neuf chapitres qui, à l’instar de Leatherface, font bien du neuf avec du vieux.
Recomposé des fragments d’une quarantaine de productions échelonnées sur cinq décennies, « Dans mes horreurs les plus pires » est évidemment l’un des films les plus ambitieux de tous les temps, mais surtout l’un des plus dispendieux! Selon une estimation qui ne tient même pas compte de l’inflation, un demi-siècle de tournages et d’enregistrements aurait coûté au bas mot la somme mirobolante de 430 millions de dollars! Contre toutes attentes et en dépit de l’existence d’une telle fortune, le montage final fut réalisé pro bono, un paradoxe qui serait attribuable à une question de « droit d’auteurs »…

 

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